Les dimensions des pneus

À chaque type de voiture correspond une dimension précise de pneus. Pour ne pas se tromper, il convient de se référer aux indications visibles sur le flanc des anciens pneumatiques. Les dimensions sont exprimées par une combinaison de chiffres et de lettres qui prend la forme suivante : 185/60 R15 84H qui signifie un pneu de 18,5 cm de largeur, de 0,60 X 185 mm de hauteur, de 15 pouces de jante et avec un indice de poids 84. Ces informations peuvent aussi être lisibles sur le certificat d’immatriculation du véhicule.
Lors de l’achat d’un pneu, les utilisateurs respectent les valeurs énoncées. Cependant, il s’agit de valeurs minimales. Toutefois, on recommande à ceux qui veulent acheter de nouveaux pneus de choisir des pneus plus grands. Effectivement, un pneu plus large garantit plus de stabilité et une meilleure tenue sur la route. D’ailleurs, certains constructeurs fournissent les dimensions de pneus les plus grandes qu’il est possible de choisir.

Le pneu pour chaque saison

Les constructeurs recommandent de choisir des pneus en fonction de la saison. On a le choix entre le pneu d’été, le pneu d’hiver et le pneu 4 saisons. Le premier est le modèle le plus utilisé par les Français. En effet, il est plus polyvalent et permet de rouler en toute sécurité indépendamment du type de climat. De plus, avec ses gommes robustes, le pneu d’été adhère parfaitement sur une chaussée sèche ou mouillée. Cependant, ses performances sont limitées lorsque la météo se dégrade.
Un pneu hiver, quant à lui, s’impose durant la saison hivernale. Avec ses gommes plus adhérentes, il permet de rouler facilement sur la neige, sur le givre et même sur la glace. En effet, ses gommes sont particulièrement résistantes au froid. En général, les utilisateurs montent leurs pneus hiver entre fin octobre et fin mars.
Entre ces deux modèles se trouvent les pneus 4 saisons. Ces derniers regroupent les performances d’un pneu d’été et d’un pneu hiver. Se révélant comme un bon compromis entre les deux précédents modèles, les pneus 4 saisons s’adaptent parfaitement aux climats tempérés et assurent une excellente adhérence sur la neige.

L’utilisation que vous prévoyez

Malgré les progrès que connaissent les motos électriques, les scooters électriques n’offrent pas encore la même autonomie que les motos thermiques. La mise en place de stations de recharge permettant de faire le plein sur de longs trajets n’est également pas encore assez développée. C’est pour cette raison que vous devez pour l’instant choisir les modèles simples et adaptés à vos besoins. Si vous avez l’habitude de parcourir de longues distances à moto, passer à l’électrique n’est pas la meilleure option pour le moment. En effet, même avec un modèle onéreux et pouvant rouler sur plus de 200 km, vous n’aurez pas toujours assez d’autonomie. Si vous vous rendez dans un lieu où il n’y a pas de bornes de recharge, vous serez toujours bloqué. En revanche, si vous avez juste besoin d’un moyen de locomotion pour aller au bureau, alors le scooter électrique est une bonne idée, il vous suffit de l’acheter sur purerider.fr. Vous pouvez à ce moment vous contenter d’un équivalent 50 ou 125 cc. Il peut se charger une fois à la maison (et éventuellement au travail) et il sera ensuite possible de l’utiliser en cours de journée.

Un modèle au prix juste

Un scooter électrique peut actuellement se vendre au même prix qu’un scooter à moteur thermique. En effet, vous pouvez trouver de bons modèles pour environ 10 000 €. Cependant, il existe aussi des scooters électriques vendus à environ 2 000 €. Si vous prévoyez de rouler quotidiennement sur votre scooter, même si les modèles les moins chers sont tentants, ils ont souvent l’inconvénient d’être limités en autonomie. Il est alors plus sage d’opter pour un modèle un peu plus onéreux, mais qui présente de meilleures performances. Pour l’achat de certains modèles, vous avez d’ailleurs la possibilité de faire appel à une aide financière offerte par l’État ou par des organismes privés. Même si ce type d’aide n’est utilisable qu’une seule fois, il permet de se lancer dans l’utilisation d’un scooter électrique sans trop dépenser.

La simplicité de conception

Une moto électrique n’a généralement pas besoin d’autant d’entretien qu’une moto thermique. C’est du moins le cas si vous optez pour un scooter simple. En effet, il existe des motos électriques capables de rouler à haute vitesse et qui ont besoin d’un refroidissement performant. Ces modèles utilisent ainsi un système de refroidissement par huile. Ce qui signifie qu’une vidange doit être effectuée une fois passé un certain seuil. En comparaison à une moto thermique, l’entretien à effectuer sur ces modèles est toujours simple puisqu’il faut juste remplacer l’huile de refroidissement de temps en temps. Cependant, si vous cherchez un maximum de simplicité, il n’est pas nécessaire d’acheter ce type de modèle. De plus, si vous roulez uniquement en milieu urbain, vous n’aurez pas forcément besoin d’une moto particulièrement puissante.

Que faire en cas de carte grise abimée ?

Avec l’âge, le temps et les passages de main en main, la carte grise s’abime. La plastification peut se déchirer. Les informations qui y sont contenues, ou du moins une partie peuvent disparaitre. Le papier peut se froisser. Dans ce cas, vous devez la remplacer.
Il est possible de demander un remplacement de carte grise sans un changement de propriétaire ou une modification dans l’identité du véhicule concerné. Il suffit pour ce faire de s’adresser à des agences spécialisées en ligne qui joueront les intermédiaires entre vous et l’ANTS : l’agence habilitée à prendre en compte ce genre de demande.
Il est à noter que seuls les propriétaires effectifs du véhicule peuvent demander le remplacement d’une carte grise abimée. Visitez ce site pour en savoir plus. En tout cas, ce sont ceux dont les noms seront affichés sur le document en question qui peuvent effectuer le remplacement. Ce peut être une personne physique ou morale dans le cas d’une voiture de leasing ou voiture d’entreprise par exemple. Si le propriétaire est mineur, ce sera à son représentant légal de réaliser les démarches : les parents ou celui ou celle qui a le droit de garde sur l’enfant.

Des démarches qui se font en ligne

Faire une demande de remplacement de carte grise n’est pas compliqué. Vous n’avez que quelques clics à faire. En effet, afin de désengorger les bureaux administratifs et simplifier les démarches, la demande peut actuellement se faire en ligne.
Ce n’est toutefois pas exempt de quelques papiers justificatifs. Notamment, vous devez présenter la carte grise originale, un certificat de résidence et des pièces d’identité. Il importe aussi de télécharger et de remplir un formulaire cerfa n°13570*05. Sur ce dernier, vous devez choisir « duplicata ». Il faudra aussi fournir le carnet d’entretien dudit véhicule si le vôtre date de plus 4 ans. Par contre, il n’est pas nécessaire d’avoir une déclaration de perte venant de la gendarmerie ou du commissariat pour ce faire. Il ne s’agit pas de perte ou de vol de carte grise.
La demande de duplicata de carte grise de voiture coûte 13,76 euros actuellement. C’est le cas, peu importe le département dans lequel vous êtes. Un remaniement des forfaits et une réduction des prix ont été mis en place à compter de cette année 2021. Toutefois, si vous passez par une agence spécialisée, qui servira d’intermédiaire entre vous et l’ANTS, le devis de la procédure peut légèrement augmenter. En effet, ce genre de prestataire prend une légère commission en échange de son accompagnement.
Depuis 2017, les préfectures françaises ne sont plus habilitées à prendre en charge les demandes d’immatriculation de quelque ordre que ce soit. Cela s’applique aussi bien pour les duplicatas que pour les changements de propriétaires ou de domicile, etc.

Une copie de carte grise ne fera pas l’affaire

Certains propriétaires de véhicules pensent à conserver une copie de leur carte grise à l’abri chez eux. Cette dernière peut être utile en cas de perte et pour les demandes de duplicata. Il n’en reste pas moins qu’une copie n’a aucune valeur légale en France. En aussi bon état que soit votre document, vous devez donc toujours passer par une demande de duplicata.
Par contre, une demande de duplicata ne vous empêchera pas de circuler. En attendant la délivrance de votre nouvelle carte grise, vous aurez un certificat provisoire d’immatriculation. Il remplacera parfaitement la carte grise pendant 1 mois lors des contrôles en tout genre. Ce qui est le délai maximum de mise à disposition d’un duplicata de carte grise. Il faut encore que les autorités procèdent à des vérifications.

Mon duplicata n’est pas le même que le document original : que faire ?

C’est une situation qui peut parfaitement se produire après une demande de renouvellement de certificat d’immatriculation. En effet, au cours des dernières années, les numéros d’immatriculation des véhicules ont connu quelques changements en France. Si dans votre carte grise, vous avez encore l’ancienne version, quelques changements seront directement opérés par le ministère de l’Intérieur. Il vous faudra donc changer la plaque de votre véhicule par la suite.
Par contre, si vous avez déjà un numéro qui obéit aux nouvelles normes qui s’appliquent depuis l’année 2021, à savoir AB-123-CD, vous devrez demander une vérification de votre document. Adressez-vous pour ce faire à la même agence qui vous aura accompagnée. Son rôle consiste aussi à assurer le suivi de votre demande auprès des autorités.

Que faire de votre ancienne carte grise ?

Quand vous avez reçu votre duplicata, il est déconseillé de jeter l’ancienne carte grise. La loi exige encore que vous la conserviez pendant au moins 5 ans. Des contrôles ou des vérifications peuvent encore être faits par les autorités.
Si vous envisagez de vendre votre véhicule, vous devez barrer le duplicata, mais fournir l’ancienne carte grise telle quelle. Elle est de toute manière abimée donc irrecevable pour toute falsification. Sans compter que les autorités garderont une trace de la demande de duplicata dans leurs archives. Il n’en reste pas moins que le nouveau propriétaire devra garder cette copie en cas d’urgence ou d’imprévu.

Définition : permis B

Le permis B sert à conduire des voitures qui ont un poids inférieur à 3,5 tonnes et ne pouvant pas transporter plus de 8 passagers. Pour pouvoir l’obtenir, il faut tenir compte de l’âge. Il y a aussi le critère de réussir les examens composés du code ainsi qu’une épreuve de conduite. La conduite de voitures et d’engins agricoles ou forestiers est acceptée pour les titulaires de ce permis, et ce, depuis le 8 août 2015. A condition que leur vitesse ne dépasse pas les 40 km/h. Cette décision a été homologuée par la loi Macron.

Les candidats au permis B

Il y a donc des conditions à respecter pour pouvoir passer son permis B.
• Vous devez avoir au moins 17 ans. Dans certains cas, il y a celui qui le passe à 15 ans en vue de la préparation du permis pour l’apprentissage anticipé à la conduite.
• Il faut aussi que vous soyez titulaire de l’ASSR 2 ou au moins de l’ASR.
• Vous pouvez prendre votre permis B aussi, si vous avez déjà obtenu un certificat médical d’aptitude à la conduite.
• Si vous avez un certain handicap ou une pathologie invalidante, un certificat est sollicité.
• Pour les candidats qui mettent des lunettes de vue ou bien des lentilles de contact, une visite médicale est recommandée. L’annotation port de verres correcteurs obligatoires : doit être mentionné sur le permis de conduire.

N’utilisez l’embrayage que lorsqu’il le faut

Vous apprendrez à l’auto-école que la conduite d’une voiture à boîte manuelle s’appuie surtout sur le bon usage de l’embrayage. Ceci dit, tâcher de l’utiliser à bon escient. Appuyez uniquement sur la commande quand il le faut. Il n’est pas question de laisser votre pied en permanence sur la pédale. Lorsqu’elle est libre, toute la puissance du moteur est transmise aux roues. Évitez d’appuyer sur la commande en dehors de changements de rapports (vitesses) ou d’un freinage.

Choisissez le frein de parking pour le stationnement

L’utilisation de l’embrayage au moment de freiner permet de ne pas caler le moteur. En effet, la rotation continue alors que les roues sont ralenties et stoppées. Lorsque la voiture est complètement arrêtée, il ne sert à rien de garder vos pieds sur la pédale de frein et celle de l’embrayage. A la place, vous devez utiliser le frein à main. Ce levier peut très bien être utile dans les embouteillages lorsque vous vous trouvez sur une pente et que le véhicule s’arrête un moment.

Réduisez au minimum la durée du changement de rapports

Sur une voiture à commande manuelle, l’embrayage sert surtout pour changer de rapports. Ainsi, vous devez appuyer sur la pédale pour passer du point mort à la première. Dans la mesure du possible, faites ce passage rapidement. La même recommandation tient pour les autres rapports, même la marche arrière. Une autre technique consiste à rester aussi longtemps que possible dans chaque vitesse. Écoutez le son que fait le moteur. Ce dernier émet un bruit comme un soupir lorsque le nombre de tours optimal pour le changement de rapport est atteint.

Le titulaire d’un jeune permis doit faire preuve de vigilance

Lorsque vous commencez à conduire, vous devez faire preuve d’une grande vigilance. Les autres usagers de la route vous considèrent comme un habitué, alors, il vaut mieux redoubler de concentration. Empruntez les trajets dont vous connaissez assez bien. Faites particulièrement attention au niveau de croisement. Les règles des priorités sont à prendre très au sérieux. Soyez courtois vis-à-vis des autres automobilistes. Sachez que conduire une moto ne vous dispense pas de cette règle de base.

Se rappeler des consignes de sécurité apprises en auto-école

Apprenez par cœur le Code de la route. Essayez d’appliquer consciencieusement les règles. Il en va de votre sécurité et celle des autres usagers. Arrêtez-vous lorsqu’un piéton traverse un passage zébré. Même s’il le fait en dehors de cette zone, ayez du respect pour lui. Arrêtez-vous bien à temps. Les feux de signalisation sont aussi à prendre très au sérieux. N’oubliez surtout pas les clignotants. Regardez bien derrière vous pendant les créneaux.

Essayer d’être sobre et en bonne santé pour conduire

Les jeunes conducteurs sont souvent des adolescents. C’est normal de chercher à bien profiter de la fleur de l’âge. Par contre, ce serait plus judicieux de rester sobre s’il faut conduire. L’alcool et le volant ne font pas bon ménage, encore moins avec les psychotropes. Pour profiter d’une fête, il est souvent préférable de prendre une personne qui ne boit pas dans la bande. Enfin, le jeune permis B n’a que 6 points probatoires. Il faut conduire prudemment pendant des mois pour en avoir 12 points définitifs.

Le système d’injection : un composant essentiel du moteur

Les injecteurs jouent un rôle très important lors du procédé de démarrage de votre moteur et tout au long du parcours d’une voiture. En effet, pour arriver à tourner, le moteur requiert un mélange particulièrement quantifié de carburant, d’air et d’étincelle. Cet ensemble se confond quand vous démarrez votre véhicule. Le phénomène se déroule dans la chambre à combustion et le système d’injection veille à ce que celle-ci reçoive une quantité proportionnée d’air et de carburant. Pour faire claire, ce composant approvisionne le moteur en élément utile pour son fonctionnement. Ainsi, en cas de défaillance au niveau du système d’injection, vous allez apprécier que la voiture consomme plus de carburant ou devienne totalement silencieuse.

Les signes qui montrent une défaillance au niveau du système d’injection

Connaitre les manifestations dès l’apparition d’éventuelles défaillances vous permet d’intervenir dans les délais et de limiter les dégâts. En général, on reconnait un souci au niveau du système d’injection par une odeur de carburant à longueur de temps. Vous pouvez même apercevoir une fuite plus ou moins considérable sous le capot. Outre cela, une diminution de la performance du moteur peut aussi évoquer un problème sur le mécanisme. Dans ce cas, il sera nécessaire d’éliminer les facteurs qui peuvent causer ce type de désagrément comme la présence d’une fuite dans les tuyaux qui alimentent le moteur en carburant, d’une vidange en retard, etc. Par ailleurs, si votre voiture a du mal ou n’arrive plus à démarrer, les injecteurs sont probablement en cause. Une forte déjection de fumées noires peut aussi vous orienter vers un problème provenant du système d’injection.

Origines possibles de la panne du système d’injection

La défaillance de l’injection d’une voiture peut provenir de différents endroits. Entre autres, vous pouvez constater un dysfonctionnement au niveau du turbocompresseur, ce qui entrainera un problème dans le système électronique. Les paramètres envoyés par ce dernier se trouvent par conséquent, faussés et le moteur ne tourne plus correctement. En cas d’altération de l’injection, vérifiez également si la panne ne vient pas du système de pompe. Dans cette circonstance, cet élément présente souvent une fuite importante de carburant. En outre, il est possible que les injecteurs soient simplement encrassés et c’est ce qui cause tout le problème. Notez dans ce cas, que pour régler ce type de problème, il est recommandé de consulter rapidement votre mécanicien.

Astuces pour prévenir les problèmes d’injecteur

Pour toutes les raisons susmentionnées, adopter certaines pratiques pour prévenir la casse du système d’injection est totalement justifié. Ainsi, privilégiez les carburants de bonne qualité afin de retarder l’encrassement de votre moteur. Oubliez dans ce cas, les petites économies avec de l’essence bas de gamme, car ce comportement risquerait de vous couter cher sur le long terme. Également, vous ne devez jamais laisser le carburant de votre voiture toucher le fond du réservoir. Cela augmente le risque de détérioration de la pompe et des injecteurs. Enfin, pensez à réviser régulièrement l’état de vos filtres et utilisez de l’huile de bonne qualité. Vous verrez que votre moteur sera plus propre et plein de vie.

Par où commencer pour se servir de cet appareil ?

La première chose est bien évidemment de brancher le scanner OBD. Après, vous devez mettre le contact sans pour autant démarrer le moteur. Le principal problème des outils de diagnostic automobile est souvent leur fiabilité. C’est pourquoi, il est primordial de saisir les bonnes données, car ceci a un certain impact sur la capacité de l’appareil à identifier la source de la panne. Lorsque vous démarrez l’outil, il va vous demander de compléter la marque et le modèle de votre véhicule, la puissance du moteur ainsi que le numéro de série. Ce sont des informations importantes afin de bien diagnostiquer votre voiture et d’identifier le problème.

Que faire une fois les informations saisies ?

Une fois que vous avez indiqué toutes les informations requises pour réaliser le diagnostic, il ne reste plus maintenant qu’à laisser l’appareil poursuivre le diagnostic. Comme recommandation, vous pouvez commencer par faire un scan pour déterminer les codes de panne. Selon le modèle d’outil que vous avez entre les mains, plusieurs options s’offrent à vous. Si vous avez la chance d’avoir un appareil plus sophistiqué ayant un système embarqué, il est possible par exemple de faire un scan des codes de pannes, puis d’indiquer la signification du code. Dans une certaine mesure, l’outil OBD peut résoudre le problème une fois l’identification terminée.

Après le diagnostic, quelle est la démarche à suivre ?

Avec des modèles plus chers, il est possible de réaliser des scans plus approfondis. Certains appareils de diagnostic OBD sont dotés d’un menu détaillé fournissant ainsi plus d’informations, ce qui facilite l’identification du problème. Si vous utilisez un scanner professionnel, vous pouvez avoir divers graphiques. Comme quoi, il est facile de connaître l’origine de la panne et de résoudre rapidement le problème. Toutefois, pour en tirer le meilleur parti de l’appareil, il est indispensable de pouvoir comprendre les différents graphiques afin de bien les interpréter. En somme, il n’est pas difficile d’utiliser un outil de diagnostic automobile une fois connecté.

Les routières

Les motos routières sont destinées au long trajet et pour la circulation en route. Elles se caractérisent par un carénage pour leur protéger des vents et des intempéries et d’un moteur à forte cylindrée. Elles sont très confortables et capables de transporter un bagage volumineux.

Les sportives

Les sportives sont des motos utilisées seulement en compétition de vitesse. Elles sont généralement dotées de moteurs optimisés pour les montées à hauts régimes et de freins puissants. Mais elles sont relativement inconfortables et ne peuvent ni transporter un seul passager en plus et de bagages.

Les roadsters

Les roadsters sont des motos classées entre la catégorie routière et sportive. Elles se caractérisent par l’absence de carénage. Étant destinées pour des déplacements en ville, elles deviennent très inconfortables sur les routes accidentées. Ainsi, de nombreux équipements comme le saut de vent, la tête de fourche sont disponibles dans les shops pour les rendre plus confortables.

les cross

Moto-cross est un terme qui peut désigner à la fois les compétitions tout-terrain et une catégorie de moto utilisée pour ce genre de compétition. Les motocross sont non homologués pour une utilisation sur la voie publique.

Les quads

Les quads sont en quelque sorte une dérivée de moto. Ce sont des véhicules motorisés à quatre roues. Elles sont utilisées pour des traversées sur des routes difficiles, mais on peut également les utiliser en ville. Ce sont surtout les passionnés d’aventures et de voyages qui optent pour des quads.

Choisir des pneus adaptés

Pour rouler sous la neige pendant l’hiver, il est important d’avoir des pneus adaptés. En effet, durant votre trajet, il se peut que vous rouliez sur des pistes verglacées ou encore boueuses. Dans la pratique, il faut choisir des pneus neige avec une gomme plus molle. Ceci permet d’avoir une plus grande adhérence sur la route et un freinage plus efficace. Si vous optez pour des pneus de neige, le mieux est de montent des pneus d’hiver sur jante en vue de faciliter le changement à chaque saison. Mettre des chaînes aussi peut être une bonne idée pour rouler sur la neige. Toutefois, avec des chaînes, vous ne pouvez rouler au-delà des 40 km/h.

Les autres accessoires à prévoir

Outre les pneus de neige, vous devez aussi avoir à votre disposition un grattoir. Avec les températures négatives, les vitres, le pare-brise et les rétroviseurs sont sujets à des givres. Ainsi, un grattoir permet d’enlever le givre et retrouver la visibilité pour une conduite sécurisée. Comme accessoire, vous aurez aussi besoin d’une balayette afin d’enlever la neige tombée sur le toit de la voiture. Le dégivrant quant à lui va permettre de débloquer une serrure gelée ou déglacer un pare-brise rapidement. En optant pour une housse de protection qui va recouvrir la voiture, il est possible de se protéger de traces de givre et de rayures.

Les précautions à prendre

Pendant la saison hivernale, vous devez faire attention à la batterie. Il est primordial de vérifier la charge et la résistance de la batterie. Il faut également s’assurer que les essuie-glaces fonctionnent très bien. Les essuie-glaces doivent permettre de balayer la neige accumulée sur le pare-brise. Entre autres, vous devez aussi penser à acheter un liquide de lave-glace adapté à l’hiver et un liquide de refroidissement contre le gel.